Tous les parfums des 1000 et une nuits
Ce que j'aimais bien chez ma tante c'est qu'elle avait le chic pour me faire prendre conscience de certains de mes défauts sans jamais me vexer, au contraire, je prenais note! C'est que je l'aimais beaucoup et que je l'admirais aussi beaucoup. Je me rappelle donc qu'un jour où j'étais chez elle, elle m'avait dit "Oh, tu sens tous les parfums des 1000 et une nuits à la fois!". J'ai bien compris que j'avais un peu forcé la dose et qu'il allait falloir que je me calme. Il faut dire qu'à l'époque j'avais un peu tendance à mélanger plusieurs "senteurs" dans le même flacon. C'était l'époque de l'adolescence où j'achetais des petites bouteilles dans les "magasins indiens"... Du patchouli, de la Pomme Verte, du Jasmin, de l'Ambre Gris... Je m'y fournissait aussi en khol gris et en écharpes mauves. Donc ce jour-là j'ai compris qu'il fallait arrêter de mélanger plusieurs parfums et se tenir à un seul parfum des 1000 et une nuits...
J'adore les parfums. Ma mère les aimait aussi beaucoup. Je l'accompagnais souvent dans les magasins de parfums quand j'étais petite. En y repensant elle y allait plus pour acheter du maquillage (du bleu ou du vert à étaler sur toute la paupière) ou sa crème de Lancôme. A l'époque (Ha ha!) ce n'était pas des chaînes comme Séphora ou Marionnaud. C'était de petites boutiques, comme des boîtes à bonbons, comme des salons très très cosy, soyeux, des boutiques douces et luxueuses, merveilleuses. En fait quand j'étais petite j'aurais voulu avoir une parfumerie quand "je serais grande". La première parfumerie dont je me rappelle (et qui n'existe plus) était toute petite, sous les arcades, rue du Palais et puis il y en avait une autre (plus tard) rue du Temple. Il y avait aussi celle, plus sérieuse, plus cérémonieuse, au coin de la place de Verdun et de la rue Chaudrier (aujourd'hui un Marionnaud) et puis celle qui faisait l'angle de la rue Dupaty et de la place de la Poste. Celle-là était ultra chic, lumineuse, avec d'énormes bouteilles de parfums en vitrine, on y allait pas souvent. Maman ne l'aimait pas trop à cause de la vendeuse qui était trop prétentieuse, ou la maîtresse d'un copain de papa, ou les deux. Les Séphoras sont apparus après, ils ne comptent pas, de toutes façons ce ne sont pas vraiment des "boutiques"...
Je continue ce post avec les parfums que j'aime, plus tard...
J'adore les parfums. Ma mère les aimait aussi beaucoup. Je l'accompagnais souvent dans les magasins de parfums quand j'étais petite. En y repensant elle y allait plus pour acheter du maquillage (du bleu ou du vert à étaler sur toute la paupière) ou sa crème de Lancôme. A l'époque (Ha ha!) ce n'était pas des chaînes comme Séphora ou Marionnaud. C'était de petites boutiques, comme des boîtes à bonbons, comme des salons très très cosy, soyeux, des boutiques douces et luxueuses, merveilleuses. En fait quand j'étais petite j'aurais voulu avoir une parfumerie quand "je serais grande". La première parfumerie dont je me rappelle (et qui n'existe plus) était toute petite, sous les arcades, rue du Palais et puis il y en avait une autre (plus tard) rue du Temple. Il y avait aussi celle, plus sérieuse, plus cérémonieuse, au coin de la place de Verdun et de la rue Chaudrier (aujourd'hui un Marionnaud) et puis celle qui faisait l'angle de la rue Dupaty et de la place de la Poste. Celle-là était ultra chic, lumineuse, avec d'énormes bouteilles de parfums en vitrine, on y allait pas souvent. Maman ne l'aimait pas trop à cause de la vendeuse qui était trop prétentieuse, ou la maîtresse d'un copain de papa, ou les deux. Les Séphoras sont apparus après, ils ne comptent pas, de toutes façons ce ne sont pas vraiment des "boutiques"...
Je continue ce post avec les parfums que j'aime, plus tard...