Cigarette mon amour
Au fil des blogs j'entends parler de cigarette... Cigarette vilaine. Cigarette coupable. Cigarette cancer. Cigarette!!!!
Moi j'adorais mes clopes. Elles ont commencé à m'accompagner quand j'avais 14 ans en cachette. A 17 ans je fumais devant mes parents et j'étais déjà bien accro. La cigarette ma tout de suite ensorcelée, prise sous son aile... Elle m'a donné des forces, du courage, de l'inspiration. Elle m'a fait tellement de bien...
Les non-fumeurs par contre m'ont tellement emmerdé...
Et c'est peu de le dire.
Maintenant je suis passé du côté obscure de la force. Je ne fume plus.
Trop cher, trop dég', trop honteux de fumer devant mon petit prince (il a 5 ans aujourd'hui et ne se rappelle pas de m'avoir vu fumer...)
J'ai donc arrêté il y a deux ans et j'ai tenu le coup, cette fois-ci.
Maintenant la fumée de clope me gène, beaucoup.
Les copains fument dehors. Je n'y vois rien de très méchant car je fumais moi-même dehors depuis bien 10 ans. On a commencé à fumer dehors avec la naissance de mes nièces... Pas question d'enfumer les bébés. Et puis j'ai vécu avec un non fumeur (inconscience ou masochisme?)
Pendant nos petites vacances à San Fé, au début du mois, j'ai fantasmé sur la clope comme une dingue. J'en parlais tout le temps si bien que mon fils me demandait tous les jours si c'était aujourd'hui que j'allais reprendre à fumer. Finalement au bout de 8 jours j'ai acheté un paquet de clope et un briquet. C'était vraiment sympa de faire ça. D'arrêter de ne pas le faire. Et puis le paquet est resté dans mon sac. Je savais que la première clope allait être dégueulasse... Fab a craqué avant moi. Je l'ai regardé faire. Et puis je lui ai demandé une taffe...
C'était encore bien plus immonde que dégueulasse. Je n'ai pas pu fumé. Moi qui ne rêve que de ça depuis deux ans, moi qui ai fumé tant et tant de clopes. Moi pour qui la clope est une partie de mon caractère. Je n'ai pas pu.
Nous étions là en vacances à la terrasse de la Xixonenca, avec un nos petits cafés devant nous et je n'ai pas pu, sous peine de vomir. C'est comme si on m'avait inoculé un sérum qui me rend insupportable la clope, un des trucs que j'aime le plus au monde. J'étais terriblement déçue. Je ne suis pas sûre de pouvoir refumer un jour, mais je suis certaine que j'en aurai toujours envie.
Sara Montiel - El ultimo cuple - Fumando espero
NB: Un autre jour je vous parle de cette chanson que je connais presque par coeur... Pour ceux qui ne comprennent pas l'espagnol, il suffit juste de comprendre que c'est une ôde à la cigarette... et à l'amour ;-)
Moi j'adorais mes clopes. Elles ont commencé à m'accompagner quand j'avais 14 ans en cachette. A 17 ans je fumais devant mes parents et j'étais déjà bien accro. La cigarette ma tout de suite ensorcelée, prise sous son aile... Elle m'a donné des forces, du courage, de l'inspiration. Elle m'a fait tellement de bien...
Les non-fumeurs par contre m'ont tellement emmerdé...
Et c'est peu de le dire.
Maintenant je suis passé du côté obscure de la force. Je ne fume plus.
Trop cher, trop dég', trop honteux de fumer devant mon petit prince (il a 5 ans aujourd'hui et ne se rappelle pas de m'avoir vu fumer...)
J'ai donc arrêté il y a deux ans et j'ai tenu le coup, cette fois-ci.
Maintenant la fumée de clope me gène, beaucoup.
Les copains fument dehors. Je n'y vois rien de très méchant car je fumais moi-même dehors depuis bien 10 ans. On a commencé à fumer dehors avec la naissance de mes nièces... Pas question d'enfumer les bébés. Et puis j'ai vécu avec un non fumeur (inconscience ou masochisme?)
Pendant nos petites vacances à San Fé, au début du mois, j'ai fantasmé sur la clope comme une dingue. J'en parlais tout le temps si bien que mon fils me demandait tous les jours si c'était aujourd'hui que j'allais reprendre à fumer. Finalement au bout de 8 jours j'ai acheté un paquet de clope et un briquet. C'était vraiment sympa de faire ça. D'arrêter de ne pas le faire. Et puis le paquet est resté dans mon sac. Je savais que la première clope allait être dégueulasse... Fab a craqué avant moi. Je l'ai regardé faire. Et puis je lui ai demandé une taffe...
C'était encore bien plus immonde que dégueulasse. Je n'ai pas pu fumé. Moi qui ne rêve que de ça depuis deux ans, moi qui ai fumé tant et tant de clopes. Moi pour qui la clope est une partie de mon caractère. Je n'ai pas pu.
Nous étions là en vacances à la terrasse de la Xixonenca, avec un nos petits cafés devant nous et je n'ai pas pu, sous peine de vomir. C'est comme si on m'avait inoculé un sérum qui me rend insupportable la clope, un des trucs que j'aime le plus au monde. J'étais terriblement déçue. Je ne suis pas sûre de pouvoir refumer un jour, mais je suis certaine que j'en aurai toujours envie.
NB: Un autre jour je vous parle de cette chanson que je connais presque par coeur... Pour ceux qui ne comprennent pas l'espagnol, il suffit juste de comprendre que c'est une ôde à la cigarette... et à l'amour ;-)